Education des filles au Burkina Faso : Comment maintenir les filles à l’école dans les zones à risque.

Le présidium

«  Renforcement des capacités des organisations de défense des droits des femmes sur la recherche, la production et l’utilisation de données probantes pour le plaidoyer en faveur de l’accès à l’éducation des filles dans les zones à risque du Burkina Faso » est le thème choisi par l’Initiative Pananetugri pour le bien-être de la femme (IPBF) pour son atelier de formation qui a eu lieu du 26 au 30avril 2021 à Ouagadougou.

Pendant cinq jours, plus d’une vingtaine de participants (personnes travaillant dans les organisations, ONG qui ont pour vocation la défense des droits des filles et des femmes , ainsi que des personnalités du gouvernement et/ou travaillant dans des services de l’Etat dédiés à la promotion des droits des femmes en général et en particulier à la promotion de l’accès à l’éducation des filles dans les zones à risque du Burkina) venus des provinces et de Ouagadougou, ont pris part à un atelier de formation dont le projet est : « Plaidoyer guidé par les données pour l’éducation des filles dans les situations de crise en Afrique ». Le lancement dudit projet s’est tenu le vendredi 30avril 2021 à Ouagadougou.
Cet atelier a pour objectif global de renforcer les capacités des organisations de défense des droits des femmes sur l’utilisation des données probantes dans le plaidoyer en faveur des filles et femmes dans les zones à risques du Burkina ont souligné les responsables de l’IPBF.
1er du genre, cet atelier de formation( des différents acteurs qui travaillent sur la question de données afin de leur permettre de produire des données tangibles en vue de mener un plaidoyer au niveau des politiques pour changer les choses sur l’éducation, la scolarisation et le maintien des filles à l’école), intervient à la suite de collecte de données et d’informations sur la situation dans laquelle vivent les jeunes filles dans le pays en période de crise a expliqué la Présidente de l’IPBF, Ezoma Juliette Bakiono.
Pour un avenir radieux du Burkina, Sika Kaboré, 1ère Dame du pays et d’ailleurs Patronne de l’évènement pense qu’on a besoin aussi d’hommes que de femmes éduqués en bonne santé.
Celle qui croit qu’un des facteurs de développement du pays, consiste en l’éducation de ces filles et de ces garçons, a indiqué qu’il était question aujourd’hui d’égalité de chances pour tous aussi bien pour les filles que pour les garçons.
Ce projet selon elle, permettra d’outiller tout d’abord tous les acteurs qui interviennent dans la promotion de l’éducation des filles, ensuite à les outiller, à savoir utiliser les données statistiques, à savoir également eux-mêmes en produire puisque eux même sont sur le terrain au cœur de l’action « donc c’est une raison suffisante pour moi d’être ici parce qu’il s’agit de nos filles, de l’éducation de nos filles et au-delà il s’agit du développement de notre pays le Burkina Faso et ce développement ne peut pas se faire seulement qu’avec les hommes , c’est avec les filles et avec les garçons, avec les femmes et avec les hommes ».
Ce projet lancé par Plan International Burkina porté par un de ses partenaires et accompagné par Sika Kaboré vient vraiment en complément de différents efforts qui sont faits en ce moment sur le terrain a mentionné le Représentant Résident de Plan International Burkina Faos Yacouba Kaigama.
Abondant dans le même sens que la 1ère Dame, il a ajouté que ce projet visait effectivement à équiper les acteurs nationaux avec des moyens, des outils, des approches pour permettre non seulement de collecter les données mais aussi de les utiliser pour influencer les décideurs et «  donc c’est à juste titre que nous sommes au niveau de Plan international ravis d’accompagner notre partenaire IPBF pour cette initiative vraiment louable ».
Il a en outre précisé que l’ensemble du programme de Plan Burkina tournait autour de la jeune fille, le cœur de leur stratégie et le focus sur lequel son institution travaille.
Au vue de tout ce qui a été fait, Juliette a fait ressortir un problème : La situation de crise amène les jeunes filles à quitter l’école ou à ne pas pouvoir poursuivre leurs études. C’est la raison pour laquelle elle a lancé un cri de cœur à l’endroit des politiques et à l’endroit de bonnes volontés de leur venir en aide que les jeunes filles puissent continuer, poursuivre leur étude en cas de crise, ce qui permettra de les maintenir à l’école.

L’IPBF est une organisation de droit burkinabé à vocation philanthrope, apolitique et non confessionnelle est née de la volonté de jeunes filles dynamiques désirant apporter leur contribution significative à l’épanouissement de la femme dans tous les domaines : juridique, socio-économique et culturel.
Persuadée que le développement de la femme passe forcément par sa capacité de résilience et ses capacités à défendre ses intérêts et à surmonter les obstacles ; l’IPBF focalise ses interventions sur le développement du leadership féminin et l’empowerment, surtout chez les jeunes filles et jeunes femmes.
Vision : IPBF, une organisation féministe de référence pour le développement du leadership et le bien-être des femmes et des jeunes filles.
Missions :
Promouvoir le féminisme inclusif et son appropriation par les acteurs des sphères de décision (tout espace ou se prend une décision),
Accroitre les capacités de résilience de la jeune fille et de la jeune femme pour le bien-être global.

benedicteoued@gmail.com

des filles : Comment maintenir les filles à l’école dans les zones à risque.

«  Renforcement des capacités des organisations de défense des droits des femmes sur la recherche, la production et l’utilisation de données probantes pour le plaidoyer en faveur de l’accès à l’éducation des filles dans les zones à risque du Burkina Faso » est le thème choisi par l’Initiative Pananetugri pour le bien-être de la femme (IPBF) pour son atelier de formation qui a eu lieu du 26 au 30avril 2021 à Ouagadougou.

Pendant cinq jours, plus d’une vingtaine de participants (personnes travaillant dans les organisations, ONG qui ont pour vocation la défense des droits des filles et des femmes , ainsi que des personnalités du gouvernement et/ou travaillant dans des services de l’Etat dédiés à la promotion des droits des femmes en général et en particulier à la promotion de l’accès à l’éducation des filles dans les zones à risque du Burkina) venus des provinces et de Ouagadougou, ont pris part à un atelier de formation dont le projet est : « Plaidoyer guidé par les données pour l’éducation des filles dans les situations de crise en Afrique ». Le lancement dudit projet s’est tenu le vendredi 30avril 2021 à Ouagadougou.
Cet atelier a pour objectif global de renforcer les capacités des organisations de défense des droits des femmes sur l’utilisation des données probantes dans le plaidoyer en faveur des filles et femmes dans les zones à risques du Burkina ont souligné les responsables de l’IPBF.
1er du genre, cet atelier de formation( des différents acteurs qui travaillent sur la question de données afin de leur permettre de produire des données tangibles en vue de mener un plaidoyer au niveau des politiques pour changer les choses sur l’éducation, la scolarisation et le maintien des filles à l’école), intervient à la suite de collecte de données et d’informations sur la situation dans laquelle vivent les jeunes filles dans le pays en période de crise a expliqué la Présidente de l’IPBF, Ezoma Juliette Bakiono.
Pour un avenir radieux du Burkina, Sika Kaboré, 1ère Dame du pays et d’ailleurs Patronne de l’évènement pense qu’on a besoin aussi d’hommes que de femmes éduqués en bonne santé.
Celle qui croit qu’un des facteurs de développement du pays, consiste en l’éducation de ces filles et de ces garçons, a indiqué qu’il était question aujourd’hui d’égalité de chances pour tous aussi bien pour les filles que pour les garçons.
Ce projet selon elle, permettra d’outiller tout d’abord tous les acteurs qui interviennent dans la promotion de l’éducation des filles, ensuite à les outiller, à savoir utiliser les données statistiques, à savoir également eux-mêmes en produire puisque eux même sont sur le terrain au cœur de l’action « donc c’est une raison suffisante pour moi d’être ici parce qu’il s’agit de nos filles, de l’éducation de nos filles et au-delà il s’agit du développement de notre pays le Burkina Faso et ce développement ne peut pas se faire seulement qu’avec les hommes , c’est avec les filles et avec les garçons, avec les femmes et avec les hommes ».
Ce projet lancé par Plan International Burkina porté par un de ses partenaires et accompagné par Sika Kaboré vient vraiment en complément de différents efforts qui sont faits en ce moment sur le terrain a mentionné le Représentant Résident de Plan International Burkina Faos Yacouba Kaigama.
Abondant dans le même sens que la 1ère Dame, il a ajouté que ce projet visait effectivement à équiper les acteurs nationaux avec des moyens, des outils, des approches pour permettre non seulement de collecter les données mais aussi de les utiliser pour influencer les décideurs et «  donc c’est à juste titre que nous sommes au niveau de Plan international ravis d’accompagner notre partenaire IPBF pour cette initiative vraiment louable ».
Il a en outre précisé que l’ensemble du programme de Plan Burkina tournait autour de la jeune fille, le cœur de leur stratégie et le focus sur lequel son institution travaille.
Au vue de tout ce qui a été fait, Juliette a fait ressortir un problème : La situation de crise amène les jeunes filles à quitter l’école ou à ne pas pouvoir poursuivre leurs études. C’est la raison pour laquelle elle a lancé un cri de cœur à l’endroit des politiques et à l’endroit de bonnes volontés de leur venir en aide que les jeunes filles puissent continuer, poursuivre leur étude en cas de crise, ce qui permettra de les maintenir à l’école.

L’IPBF est une organisation de droit burkinabé à vocation philanthrope, apolitique et non confessionnelle est née de la volonté de jeunes filles dynamiques désirant apporter leur contribution significative à l’épanouissement de la femme dans tous les domaines : juridique, socio-économique et culturel.
Persuadée que le développement de la femme passe forcément par sa capacité de résilience et ses capacités à défendre ses intérêts et à surmonter les obstacles ; l’IPBF focalise ses interventions sur le développement du leadership féminin et l’empowerment, surtout chez les jeunes filles et jeunes femmes.
Vision : IPBF, une organisation féministe de référence pour le développement du leadership et le bien-être des femmes et des jeunes filles.
Missions :
Promouvoir le féminisme inclusif et son appropriation par les acteurs des sphères de décision (tout espace ou se prend une décision),
Accroitre les capacités de résilience de la jeune fille et de la jeune femme pour le bien-être global.

benedicteoued@gmail.com

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